"Wunderkind is a gift for the senses. Nikolai Grozni's shimmering, visceral prose unfurls like music, as if a baby grand served as his infernal typewriter."
--Patti Smith |
Wunderkind se lit comme une psychanalyze de communisme, obsédé par la sacré. Des puissances transcendantes travaillent un universe qu'on aurait pu croire définitivement voué aux lois du matérialisme... Grozni, qui parfois a les illuminations visionnaires et grotesques d'un Gogol, voit la Bulgarie sous un aspect déformé, grimaçant... La musique, et en particulier l'œvre de Chopin, est une façon d'accéder au code secret... Konstantin, comme Nikolai Grozni, est un incorrigible romantique, pour qui l'art est d'abord un cheminement sacrificiel vers l'absolu.
--Damien Aubel, Transfuge |
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